Famille-info 92

La Maison de la Famille de l’UDAF des Hauts de Seine propose :

• Un lieu d’information au service de toutes les familles des Hauts-de-Seine
• Des renseignements gratuits par téléphone, par mail ou sur RDV
• Des orientations vers les organismes compétents pour les démarches administratives ou juridiques

6 avenue du Général Leclerc à Saint-Cloud
Tél : 01 46 02 82 63 – Fax : 01 41 12 83 64
Mail : famille.info@udaf92.fr

• Qu’est-ce qu’un tuteur familial ?
• Où trouver des consultations juridiques gratuites dans les Hauts-de-Seine ?
• Quelles sont les structures d’accueil de jeunes enfants dans le département ?
• Qui peut-on contacter face au surendettement ?
• Où trouver du soutien si la consommation de stupéfiants touche l’un de mes enfants ?
• En quoi consiste une médiation familiale ?
• Vers qui aller pour un litige de consommation ?

Travail du dimanche

"Quand tous les puissants arguments en faveur du repos dominical sont minés par la modernité, en demeure-t-il malgré tout encore un, apte à s'inscrire dans les compétences de l'Union européenne ? Oui, sans doute, le plus faible de tous, celui de la santé... " Source "Liberté Politique"

Pour en lire plus sur le sujet : http://www.libertepolitique.com/L-information/Le-fil-d-actualite/Encadrer-le-dimanche-en-Europe-c-est-possible

Avortement postnatal : jusqu'où niera-t-on la personnalité de l'être humain ?

Merci à Génétiques.org qui nous fait prendre conscience de l'état actuel des idéologies en bioétique. On pourrait croire à un barbarisme avec ce titre, mais malheureusement non. Lisez ce qui suit, extrait de la lettre d'avril :

Avortement postnatal : Jusqu’où niera-t-on la personnalité de l’être humain ?

Le journal of Médical Ethics relaye un article de deux philosophes, spécialistes de la bioéthique, Francesca Minerva (1) , et Alberto Giubilini (2) "Avortement postnatal : pourquoi laisserait-on vivre le bébé ?". Partisans d’un homicide du nouveau-né, les auteurs poussent la logique de l’avortement jusqu’au bout. La question fondamentale qui se pose reste la suivante : A partir de quand reconnait-on le statut de personne à un être humain ?

L’avortement postnatal défini par Alberto Giubilini et Francesca Minerva

Ces deux philosophes différencient l’avortement postnatal d’une euthanasie néonatale ou d’un infanticide. L’euthanasie néonatale (reconnue licite aux Pays-Bas par le protocole de Groninger de 2002), reconnait la possibilité de tuer un nouveau-né, dans son propre intérêt, lorsqu’il présente un handicap sévère. L’infanticide signifie que l’on tue volontairement un enfant, soit une personne. Or pour les auteurs le foetus ou le nouveau-né, bien qu’étant des êtres humains, n’entrent pas dans la catégorie de "personnes". Ainsi l’avortement postnatal est une possibilité qui devrait être donnée aux parents, dans leurs propres intérêts, d’éliminer leur nouveau-né en bonne santé, pour les mêmes raisons qu’un avortement (raisons économiques, sociales ou psychologiques).

L’avortement postnatal légitimé par Alberto Giubilini et Francesca Minerva

Ces philosophes tentent de légitimer l’avortement postnatal en développant trois arguments :

• Le foetus et le nouveau-né ne seraient pas des personnes

Ils relèvent que le foetus ou le nouveau-né ont le même statut, qu’ils sont "moralement équivalents", "qu’ils sont, à n’en pas douter, des êtres humains", mais qu’ils ne peuvent être reconnus comme des "personnes", au sens de "sujet de droit moral à vivre". Avec aplomb, les philosophes expliquent que le terme "personne" désigne "un individu capable d’attribuer sa propre existence à au moins une valeur fondamentale, celle d’avoir conscience qu’être privé de son existence représente une perte pour elle". Ils décrètent ainsi que la seule condition nécessaire pour être une personne, un sujet de droit, est celle de souffrir d’une décision qui le priverait de ses droits.

• Le foetus ou le nouveau-né seraient des personnes potentielles

Les auteurs pensent que "le foetus ou le nouveau-né sont des personnes potentielles parce qu’elles ont cette capacité à développer, grâce à leur propre mécanismes biologiques, des propriétés qui feront d’elles des personnes au sens de sujets de droit moral à la vie : moment où elles seront capables d’avoir un but et d’apprécier leur propre vie". Pour eux, les "personnes potentielles" ne peuvent être blessées par le fait d’être empêchées de devenir une "personne" parce qu’elles ne peuvent expérimenter le mal qui leur est fait. Ils affirment que si personne n’est blessé c’est qu’il n’y a pas de mal qui a été commis. Ils en concluent que l’avortement postnatal de "personnes potentielles" ne peut faire de tort à personne et donc qu’il est légitime.

• L’adoption ne serait pas une alternative à l’avortement postnatal

Les deux auteurs soutiennent que la mère qui donne son enfant à l’adoption souffre d’une détresse psychologique. Ils expliquent que l’adoption n’est pas moins traumatisante qu’un avortement postnatal parce qu’elle n’est pas irréversible, et peut amener les mères à rêver du retour de leur enfant auprès d’elles.

La contradiction flagrante d’une culture de mort

• Foetus et nouveau-né ont une même nature

Si l’analyse d’A.Giubilini et F.Minerva ne peut qu’être choquante tant elle cherche à justifier l’injustifiable : éliminer un nourrisson au simple bon vouloir des parents, elle peut être positive sur un point. Ces auteurs ont l’honnêteté de reconnaitre un fait incontestable et pourtant controversé : embryon, foetus et nouveau-né ont une même nature. Voilà de quoi faire taire tous ceux qui, pour légitimer l’avortement ou la recherche sur l’embryon, nient la nature du petit être humain in utero. Les auteurs ont aussi ce mérite d’amener la logique de l’avortement jusqu’au bout, dévoilant ainsi son inhumanité. Si l’interruption médicale de grossesse permet d’éliminer un enfant in utero jusqu’à l’accouchement, pourquoi quelques heures après la naissance ne pourrait on pas faire de même ? Est-ce le simple fait de voir et de toucher cet être humain qui permettrait de le reconnaître comme une personne et empêcherait de lui porter atteinte ? Les logiques utilitaristes, ou féministes trouvent ici leur faille. Il n’y a en effet aucune raison scientifique ou morale valable pour considérer que l’embryon ou le foetus puisse faire l’objet d’un traitement différent qu’un nourrisson. A moins évidement de cautionner la pensée retranscrite ci-dessus sur la conscience de sa propre vie.

• Les termes "personne potentielle" ne signifient rien

Francis J. Beckwith (3) précise qu’à partir du moment où un foetus et un nouveau-né sont tous deux des êtres humains, les considérer comme des "personnes potentielles" n’a aucun sens. En effet dit-il : "le foetus n’est pas un être potentiel en ce sens qu’il deviendrait quelqu’un d’autre […] l’acquisition de pouvoirs personnels est étranger à sa nature (comme lorsque je perds 4 kilos)". Ainsi un être ne devient pas une personne en fonction de l’acquisition ou la perte de ses capacités, mais bien en fonction de sa nature même. Or comme la nature de l’être humain ne change pas du début à sa fin, on ne peut affirmer raisonnablement que des êtres humains à un moment de leur évolution peuvent ne pas être des personnes. Comme le dit ce philosophe : "ces embryons ne sont pas des êtres potentiels. Ce sont tout simplement des êtres dotés d’un potentiel."

• La vulnérabilité n’est plus supportable

La pensée des deux philosophes ne laisse aucune place à la vulnérabilité. Si une personne n’est considérée comme telle que lorsqu’elle a conscience du mal qui peut lui être fait, alors les vieillards ou les malades inconscients perdraient eux aussi leur statut de personne et pourraient être la proie du desiderata des plus forts. Plus aucune attention ou protection des plus faibles ne serait pris en compte dans notre société. Et pourtant n’est-ce-pas la vulnérabilité d’un individu qui fait de lui un homme ? Pierre Olivier Arduin souligne que la notion de dignité est devenue sans consistance : "Ces revendications transgressives [...] sont d’abord la conséquence d’une grave crise anthropologique […] qui ne permet plus de rendre compte du principe de dignité humaine".

L’eugénisme à l’encontre des personnes handicapées est-il un droit de l’homme ?

Voilà la question à laquelle la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) est amenée à répondre dans l’affaire Kruzmane c. Lettonie. Choquées par la nature de cette interrogation, des associations européennes spécialisées dans le handicap se mobilisent pour faire entendre leurs voix, celles des personnes handicapées, de leurs familles, trop souvent oubliées alors qu’elles sont les premières concernées par cette violente stigmatisation.

L’affaire Anita Kruzmane

Une femme lettone a accouché d’une fille atteinte de trisomie 21. Celle-ci a poursuivi son médecin en justice devant les juridictions de son pays se plaignant de ne pas avoir été en mesure d’avorter de sa fille du fait de l’absence d’un test de dépistage. Les juridictions nationales n’ont pas accueilli ses demandes relevant que le médecin avait bien proposé ce test. Mme Kruzmane saisit alors la CEDH considérant que le rejet de ses demandes par les juridictions lettones viole son droit fondamental au respect de la vie privée. Elle invoque que ce droit fondamental comporte un droit de décider d’avorter en raison de l’état de santé de l’enfant à naître. Si la CEDH fait droit à sa demande, elle jugerait que le droit fondamental au respect de la vie privée comprendrait celui de recourir à la procédure de "dépistage - élimination" pré-natal des enfants porteurs d’un handicap. Or cette "procédure" n’est autre qu’un processus d’élimination des enfants considérés comme "non-conformes", c’est-à-dire un eugénisme des personnes handicapées. Pour l’ECLJ (4), "Cette revendication – faire de l’eugénisme un droit de l’homme – peut paraître folle, mais pas au point de choquer d’emblée la Cour, sans quoi elle l’aurait rejetée pour non-respect des critères de recevabilité ou pour abus de droit […]. Il ne fait pas de doute que l’affaire KRUZMANE […], est utilisée de façon stratégique pour essayer de faire avancer les 'droits' à l’avortement et à l’eugénisme. L’eugénisme, à la suite de l’avortement, est en voie de normalisation sociale : de plus en plus rares sont ceux qui perçoivent encore l’inhumanité de ces pratiques'.

Les enjeux de l’affaire

• Stigmatisation d’un groupe humain sur la base de son génome

Le processus "grossesse-dépistage-élimination" entraine déjà dans beaucoup d’Etats membres de graves dérives eugéniques. L’affaire Kruzmane c. Lettonie va plus loin : inscrire comme droit fondamental le droit de supprimer la vie des enfants trisomiques avant leur naissance conduira à stigmatiser un groupe humain sélectionné sur la base de son génome, à nier purement et simplement leur humanité et à instaurer le mécanisme de leur élimination à disposition de chaque femme.

• Eriger l’interruption médicale de grossesse (IMG) comme un droit

Il faut noter que l’IMG, autorisée dans la plupart des législations nationales est une possibilité donnée à la femme à l’unique condition qu’un accord médical soit délivré. Il revient donc au seul corps médical d’accepter ou non ce type d’interruption de grossesse au regard de la gravité de la maladie de l’enfant. Cette décision médicale est justifiée par la nécessité d’empêcher d’éliminer des enfants à naître pour des raisons subjectives. C’est une des garanties contre l’eugénisme. Si donc, dans les législations nationales des Etats membres, l’IMG n’est pas un droit mais une exception après autorisation médicale, comment pourrait-elle être érigée au rang de droit fondamental ?

• Encourager le marché financier de la génétique au mépris de l’humanité

Enfin, au delà de l’aspect moral de cette affaire, c’est bien un tapis rouge qu’on déroulerait au marché de la génétique et aux marchands de tests. Car ce qui fonctionnera pour la trisomie fonctionnera pour toutes les pathologies détectables avant la naissance ainsi que pour les prédispositions génétiques. L’enjeu est considérable puisqu’il cible la moitié de la population mondiale : les femmes.

• Instaurer un cadre juridique à l’avortement pour les 47 Etats membres

Le fait de reconnaitre un "droit à tuer pour état de santé" comme un "droit de l’homme" serait une révolution. C’est la première fois que la CEDH est amenée à décider si la vie d’une personne malade vaut la peine ou pas d’être vécue. Or les décisions de la CEDH ont un impact particulièrement fort, car elles instaurent des principes que les Etats membres ne peuvent contourner. Face à ces graves enjeux, des associations européennes se sont regroupées sous le label "stopeugenicsnow" (5). Par le biais d’une déclaration en ligne, elles rappellent que "c’est l’élimination systématique des enfants trisomiques en Europe qui constitue la vraie violation des droits de l’homme", elles en appellent "à la conscience de la Cour et des institutions européennes afin qu’elles reconnaissent l’humanité et protègent le droit à la vie des personnes trisomiques et handicapées". Elles demandent à la CEDH de "réaffirmer le principe de l’interdiction de l’eugénisme ainsi que l’obligation des Etats de protéger la vie de toute personne, y compris celles des personnes handicapées avant leur naissance".

(1) De l’université de Melbourne
(2) De l’université de Milan
(3) Francis J. Beckwith, philosophe spécialisé en politique, droit, éthique appliquée
(4) European Center for the law and justice, organisation internationale non gouvernementale dédiée à la protection des droits de l’homme en Europe tierce partie dans l’affaire.
(5) www.stopeugenicsnow.org

Vacances, pour vous, ça rime avec ...

Les vacances par Europe1fr

Une interview qui donne envie de voir autrement ses vacances et de réfléchir un peu avant de partir. Vivre un été autrement.

L'euthanasie en marche...ou comment ne jamais citer le mot et lancer le programme

Les premiers pas pour légaliser l'euthanasie sans prononcer son nom ont été fait à travers cette proposition de loi que vous pouvez retrouver ici : http://www.senat.fr/leg/ppl11-586.html.
Le 8 juin dernier, Roland Courteau, sénateur, a déposé une proposition de loi « relative à l'assistance médicale pour mourir et à l'accès aux soins palliatifs ».


Cette proposition intervient 7 ans après la loi Léonetti qui, estime Roland Courteau, « est loin de régler toutes les situations » et ne permet « que de « laisser mourir » ». Ainsi, l'article 1er de la présente proposition demande que « Toute personne, majeure non protégée, en phase avancée ou terminale d'une affection grave et incurable, quelle qu'en soit l'origine, lui causant des souffrances physiques ou psychiques qui ne peuvent être apaisées ou qu'elle juge insupportables, peut demander à bénéficier, dans les conditions prévues au présent titre, d'une assistance médicale pour mourir ». Ce texte semble motivé également par un "retard" de notre législation qui placerait la France « parmi 33 pays de l'OCDE étudiés, au 12ème rang des pays dans lesquels on meurt le mieux, derrière notamment les pays qui ont été les premiers à légaliser l'euthanasie (Pays-Bas et Belgique). »

Au vu de ce texte, les AFC souhaitent rappeler que l'accompagnement des personnes en fin de vie appelle d'abord des actions de terrain et certainement pas de nouvelles lois qui instaureraient un « droit à mourir ». La mort ne saurait être en aucun cas une réponse à la souffrance. Le fait que ce texte soit déposé en pleine campagne pour les législatives suscite aussi des questions de méthode.

Par ailleurs, dans une résolution en date du mois de janvier 2012, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe a exprimé une opposition claire à l'euthanasie. Le texte soulignait ainsi que « L'euthanasie, dans le sens de l'usage de procédés par action ou par omission permettant de provoquer intentionnellement la mort d'une personne dépendante dans l'intérêt allégué de celle-ci, doit toujours être interdite ».

A l'heure de la question de l'européanisation et, pour la France, des échéances électorales, les AFC souhaitent qu'une écologie de l'homme soit prise au sérieux, au même titre que les questions économiques, diplomatiques, environnementales..., afin de mettre en œuvre des stratégies globales et multidisciplinaires pour apporter une réponse effective, médicale et éducative à la souffrance des personnes.

Ordination's buzz

C’est l’image qui a créé le buzz ce week-end sur les réseaux sociaux, alors que l’Eglise catholique, partout dans le monde en cette fin juin, ordonne grand nombre de prêtres et de diacres à proximité de la fête de Saint Pierre et Saint Paul (29 juin).

Cette année, la France comptera près de 150 ordinations sacerdotales, prêtres diocésains et religieux.

Conférence de Bernadette Lemoine, suite

En attendant de pouvoir retranscrire fidèlement les propos de Bernadette Lemoine, voici le texte d'une autre de ses conférences qui reprend bon nombre de thèmes évoqués jeudi soir (la première partie de la conférence de jeudi soir est quasi identique à celle-ci)

http://www.jadopte.fr/contents/pdf/etreparents.pdf

Vous pouvez aussi en retrouver l'esprit (et d'ailleurs aussi d'autres textes intéressants) dans le chapitre écrit par Mme Lemoine de ce livre des Béatitudes : http://www.editions-beatitudes.com/images/livre_25ans.pdf

Pour la deuxième partie, et en attendant un enregistrement providentiel, nous vous donnerons le texte pris en note.

Le style accueillant de la famille chrétienne

• 

Mons. Jean Laffitte: Secrétaire du Conseil pontifical pour la famille

Quand j’ai l’occasion de rentrer dans le logement d’une famille, c’est à de petits signes que je reconnais qu’elle est chrétienne: je vois souvent un crucifix accroché au mur et, si je participe au déjeuner, il n’est pas rare que l’on me demande de bénir la table.

Souvent, toutefois, il y a un autre aspect qui de plus en plus me touche et me porte à remercier le Seigneur pour la maison que je visite: la manière dont tous les membres de la famille interagissent et se comportent avec leurs hôtes. A table, cela apparaît de manière claire: il arrive que les enfants aident leur mère au moment de servir ou de ranger, que tous prennent part à la conversation; et tous sont habitués à écouter celui qui s’exprime, même si c’est le petit dernier qui raconte un fait apparemment banal. Il ne s’agit pas là de simple éducation; derrière ces gestes simples, voici le style de vie enseigné par les parents qui exprime la façon dont ils ont choisi de vivre ensemble, de se rapporter les uns aux autres, de faire famille. Jean-Paul II, dans la Familiaris Consortio (64), résume ce style familial en trois mots: accueil, respect et service, qui expriment la façon familiale de vivre la communion. La famille chrétienne est un lieu où l’on est attentifs les uns aux autres, où les gestes et les mots sont importants, où l’on s’entraide et où l’on se soutient réciproquement, où l’on s’aime vraiment, où l’amour est simplement la logique qui inspire et détermine les choix concrets, même lorsqu’on se dispute et qu’on ne se comprend pas. Mais il y a plus. Aujourd’hui, les familles qui cherchent, avec l’aide du Seigneur, à vivre ainsi, vivent simplement l’accueil et le respect des autres. Dans tous les lieux que nous habitons (immeuble, école, bureau, paroisse), ils vivent le service avec toutes les personnes qu’ils rencontrent, en particulier avec les personnes en difficultés. La Rencontre mondiale que nous vivrons dans quelques mois à Milan sera une occasion privilégiée d’expérimenter ce style accueillant au sein de la famille et, plus encore, entre familles du monde entier: une ouverture du coeur, un enthousiasme et une joie que l’on pourra respirer dans l’air et qui rendront ces journées particulièrement intenses et vraies. C’est aussi pour cela qu’il vaudra la peine d’être à Milan durant ces journées.

Sainte Famille

Le nouveau symbole des Rencontres mondiales remis aux milanais par le Pape.

La Rencontre Mondiale des Familles a un nouvelle icône symbole. Il s'agit d'une grande mosaïque - réalisée par l'artiste jésuite Marko Rupnik - qui le 11 avril dernier a été bénie par le Pape sur la Place Saint Pierre. Confiée par le Saint Père à Monseigneur Erminio De Scalzi, président de la Fondazione Milano Famiglie, cette oeuvre représente la Sainte Famille et la Très Sainte Trinité représentée par la main du Père qui soutient le feu de l'Esprit qu'est Jésus. A côté de Marie et de Joseph figurent le Paradis terrestre et la Jérusalem céleste avec la Sainte Famille au centre de l'histoire du salut.

"Dans la Sainte Famille de Nazareth, le ciel rencontre la terre et la Trinité divine trouve son image humaine la plus parfaite - explique le cardinal Ennio Antonelli, président du Conseil pontifical de la famille. L'Eglise se sent appelée à se faire encore plus famille, pour manifester la présence du Christ dans le monde à travers l'amour réciproque. Les familles sont appelées à être unies et ouvertes, à préparer les enfants à leur avenir et à leur mission, sans les retenir par un amour possessif. Toutes les relations et les activités terrestres - continue Antonelli - sont appelées à suivre la logique de l'amour pour trouver nouvelle harmonie, beauté, reflet et révélation de la Trinité". La mosaïque de Rupnik, qui à la demande saint Jean-Paul II s'était occupé de la chapelle Redemptoris Mater au Vatican, a été apportée à Milan par Monseigneur De Scalzi pour être exposée à l'intérieur de la Basilique Saint Ambroise, dans la chapelle de la Madonne du lait. Par la suite, l'oeuvre sera successivement exposée dans les sept zones pastorales du Diocèse, où elle restera une semaine à chaque étape. L'icône, qui pèse 60 kg, sera enfin exposée au Mico-FieraMilano à l'occasion du congrès théologico-pastoral qui le 30 mai ouvrira officiellement la VIIe Rencontre mondiale des Familles. La Sainte Famille sera ensuite apportée à Bresso sur la scène de la "Fête des témoignages" et sur l'autel de la Sainte Messe célébrée par Benoît XVI avant d'être remise au diocèse qui en 2015 accueillera la Rencontre.

Interview d'Antoine Renard à Milan

Milan 2012 Interview d’Antoine Renard par AFC94

Milan 2012, une citation parmi tant d'autres

Extrait de l'article d' Anita Bourdin (ZENIT.org)

MILAN, samedi 2 juin 2012  – Le mariage suppose aujourd’hui, contrairement à d’autres modèles du passé, d’être amoureux, mais pour qu’il dure, cela ne suffit pas : il faut que viennent un « vin meilleur », comme à Cana, qu’interviennent aussi la raison et la volonté, fait observer Benoît XVI.

Adhésions

Vous voulez adhérer aux AFC,

pour porter plus haut la voix des familles

auprès des gouvernements français et européen

et profiter de nos services locaux

(liste de baby-sitters, petites annonces, activités diverses)

Pour la version papier, 
c'est par ici 

Vous pouvez aussi adhérer directement en ligne, c'est possible ! votre adhésion nous sera automatiquement transmise.

C'est par là : 

http://afc-france.org/nous-rejoindre/actions/adherer

Prière pour les mères

Père qui es dans les cieux,

Voici que je porte en mon sein

un tout petit enfant, faible et vulnérable,

qui déjà transforme tout mon corps et tout mon cœur.

Merci de me l’avoir confié.

.

Merci de me donner de l’accueillir

comme Marie a accueilli Jésus au jour de l’Annonciation.

Merci de me donner de l’accueillir

comme ma mère m’a accueillie

quand elle a reconnu ma présence au plus intime d’elle-même.

.

Père qui nous aimes,

Je suis émerveillée face à cette vie si secrète et si palpitante,

si fragile et si pleine de promesses.

Merci de m’avoir donné les yeux du cœur,

qui me permettent de déjà voir cet enfant, alors qu’il est encore invisible.

.

Père plein de tendresse,

aide-moi à faire chaque jour ce que je peux faire

pour que ce petit enfant soit heureux.

Je Te demande, Père de toute grâce, de pouvoir transmettre à cet enfant,

toute la foi, toute l’espérance, tout l’amour que je porte dans mon cœur.

.

Enfin, avec mon enfant, qui est d’abord le tien,

je Te prie, Père, de nous garder sous ta protection,

maintenant et pour toujours.

Amen.
.

P. Michel Schooyans

 Seigneur, Maître des pots, des brocs et des marmites
qui sont dans ma cuisine et dont j'ai le souci,
je ne puis être, hélas, la sainte qui médite,
assise aux pieds du Maître ou qui brode pour Lui
avec de blanches mains quelque étoffe bénite.
Alors, que je sois sainte en besognant ici !

Donne-moi de Te plaire en remuant la flamme,
en préparant la soupe, en récurant l'évier !
De Marthe j'ai les mains, mais de Marie j'ai l'âme :
quand je lave le sol, à genoux, sur la dure,
je pense que tes mains ont touché nos souillures,
et je vois ta sandale en cirant un soulier.

De prier longuement je n'ai pas le loisir.
C'est pourquoi je Te dis : réchauffe ma cuisine
du feu de Ton Amour, et que Ta paix divine
apaise les excès de mon humeur chagrine
et fasse taire aussi mes envies de gémir.

Tu aimais tant, Seigneur, à nourrir Tes amis,
sur la montagne, au bord du lac, dans le cénacle !
Quand je leur servirai le repas que voici,
ce sera Toi, Seigneur, qui seras à ma table,
car c'est Toi que je sers en les servant ici. 

Prière d'offrande du nouveau-né

Père Saint,
Pour réjouir ta paternité
et par Marie notre Mère,
Nous T’offrons un fils.
Qu’enfant des ténèbres,
Il devienne enfant de lumière
Et qu’incorporé par le baptême
Au Corps mystique du Christ,
Il connaisse et glorifie ton Nom de Père.
Qu’il travaille à l’extension de Ton règne d’amour.
Que Ta volonté s’accomplisse en lui sur cette terre,
Comme au ciel pour l’éternité.

Chemins de vie différents

Cette association a vocation à soutenir les personnes concernées par l'homosexualité.

Dieu nous aime sans condition, et nous sommes tous appelés à vivre de sa vie. Animée par cette conviction, l'association désire

Ø être un lieu d'accueil chrétien et d'écoute inconditionnels,
Ø permettre à chacun d'être lui-même et de partager librement ses questions avec d'autres vivant des parcours semblables,
Ø être un lieu de réflexion pour la foi et de prière avec l'Eglise,
Ø chercher ensemble des chemins d'Evangile pour aujourd'hui,
Ø témoigner de cette recherche.

Retrouvez le site de l'association ici

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Prends ton casque n°3 : jalousies et rivalités dans la famille

Bibliographie adultes :

• Pour être des parents acceptables, par Bruno Bettelheim, Ed. Hachette 1998.
• C'est pas juste ! Comment gérer les conflits entre frères et sœurs, par Nancy Samalin, Ed. Flammarion 1997.
• Communiquer en famille, par Marie-Madeleine Martinie, Ed. Fayard 1994.
• Guide des difficultés de la vie quotidienne, par le Père Pierre Descouvermont, Ed. Fayard 1996.
• L'homme blessé par Patrice Chéreau, Ed. de Minuit 1983.
• Les neuf fondamentaux de l'éducation Yannick Bonnet extrait lu sur les relations frères et sœurs.

Bibliographie enfants : 

• Vous êtes tous mes préférésde Sam Mc Bratney et Anita Jeram – Pastel Lutin Poche de l'école des loisirs.
• Tu es une merveille de Bayard collection Le chemin des petits. Des mots à chuchoter où l'oreille du tout petit pour lui dire combien on l'aime et lui expliquer que dieu veille sur lui.
• Je chante Dieu de tout mon cœur de Christine Ponsard ( chanson sur la famille)
• Tchoupi (avec les prénoms à changer)
• Jaloux, pas jaloux de Françoise Dolto pour aider l'enfant à exprimer ses

Maman verte

Vous pouvez tout retrouver  http://www.ecologie-au-feminin.info/

Prends ton casque n°5 : La paternité

• Quelques références bibliques :

Luc 2, 41- 52 :  Jésus enfant retrouvé parmi les docteurs.

Luc 15, 4-7 :     la brebis perdue

Luc 15, 11-32 : l’enfant prodigue

• Conférences : http://www.conferencedesamarie.com/index.php/les-conferences-de-samarie/telecharger/viewcategory/54-la-paternite

• Films : L'Incompris (Incompreso) est un film italien réalisé par Luigi Comencini, sorti en 1966.

La situation d'incompréhension, qui donne son titre au film, est celle d'un père qui pense que la disparition de son épouse va affecter essentiellement le cadet. En réalité, l'aîné est, au contraire, beaucoup plus fragile. Remarquable observateur des différentes phases de l'enfance, Luigi Comencini soulignait, pour sa part, que les "enfants plus jeunes ont une espèce de dureté naturelle qui leur permet de résister, alors qu'en grandissant ils deviennent plus vulnérables...(...)"

Petites astuces pour la vie familiale

Sur ce blog, nous allons vous proposer quelques trucs et astuces pour faire de la vie de famille une fête .

 

Ce livre est à la fois très drôle et très sérieux. Ces 80 pages rédigées par des professionnels de l'enfance s'adressent aux parents ainsi qu'aux professionnels qui les entourent et s’intègrent dans une campagne à destination des parents d’adolescents lancée par le ministère de la communauté française de Belgique. Dans un mini-format, plusieurs auteurs professionnels de l’enfance partagent leurs conseils bien utiles pour aider les parents à garder le cap dans la traversée de l’adolescence de leurs enfants, les aider à tenir leur rôle d’adulte et de parent. Les illustrations pleines d’humour accompagnent les 17 chapitres reprenant des thèmes pédagogiques, très bien titrés et agrémentés d’exemples bien vus : « Calmer le jeu », « accepter d’être ringard », « débattre », « poser des limites »… Ce livre a un tel succès qu’il est désormais vendu en France !

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La fessée, pour ou contre...Vaste sujet. Et si on déplaçait notre curseur pour voir un peu plus loin, un peu différemment les choses.

Nous vous proposons de lire ce petit fascicule qui donne des pistes pour mieux gérer nos moments d'énervements légitimes et arriver à donner une réponse adéquate à l'enfant. (pourquoi vous donner cette piste en fin d'année ? Parce que nous sommes tous sur les rotules, nous manquons d'énergie et que notre patience est mise à  rude épreuve chaque jour, malgré cela...)

 Pour lire tout ça, retrouvez le fascicule ici. (en bonus, des pistes bibiographiques en fin d'ouvrage ! Filliozat, Faber et Mazlich...des aides véritables et efficaces pour apaiser la vie de famille)

Bonne lecture, c'est court et ça aide vraiment !

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Besoin d'idées pour un anniversaire clé en main ? Alors allez vite sur ce site  où vous trouverez une bonne dizaine de thèmes d'anniversaire clés en main :

caraïbes, stars d'Hollywood, olympiades, aventuriers, sorciers, pirates, détectives, casino, extra-terrestres, etc...

Inutile de vous dire que tout est évidemment gratuit !

Si ça peut vous aider à passer un mois de juin un tout petit peu moins fatigant...

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La clé magique
Trouvé chez 123 familles, ce petit jeu constitué 19 cartes peut vous servir de support "ludique" pour inculquer les bonnes manières. L'introduction du jeu donne le ton "Les bonnes manières, cela s'appelle aussi la politesse. Et la politesse, c'est une clé magique qui ouvre les portes du bonheur et le coeur des gens; Si tu la possèdes, tous ceux que tu rencontres ont envie de t'aimer. Veux-tu posséder cette clef et apprendre à t'en servir ?".

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Nous vous avons trouvé des petites fiches très bien faites sur les maladies infantiles les plus courantes. Elles sont éditées par l'Hôpital Sainte Justine (pour celles qui suivent l'émission les Maternelles sur France 5, cet hôpital y est souvent cité). Vous retrouverez tout cela sur ce site. C'est vraiment bien conçu, clair, complet, pas alarmiste. De quoi mieux identifier toutes les maladies qu'attrapent nos enfants sans devenir complètement paranos...

Source : nounoubretignysurorge.centerblog.net sur centerblog.

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Quand les vêtements d'hiver prennent le relais des vêtements d'été...

On en profite pour trier ! Vérifier ce qui est encore mettable, transférer la garde-robe d'un enfant à l'autre, rendre ce qui a été prêté par des copines et qui est trop petit...

Petit guide pratique :

Prévoir 3 contenants (caisse, carton, sac résistant...) pour se débarrasser de ce qui ne va plus  :
-je vends
-je jette
-je donne

Prévoir un sac plastique solide avec une étiquette où vous aurez noté la taille des vêtements que vous allez trier dit "sac de rangement"

Ensuite, sortez les vêtements d’été du placard de votre enfant. Assurez-vous qu’ils sont propres et sans accrocs. Commencez le tri :

- ce qui est en bon état et qui servira pour un enfant plus jeune : rangez-le dans le sac de rangement.

- ce qui est en mauvais état : jetez-le ou … recyclez-le en chiffons pour lustrer les chaussures par exemple.

- ce qui est à donner : glissez-le dans le contenant « à donner ».

Rangez les vêtements d’été propres et repassés, bien à plat dans le contenant.

Pour gagner de la place, utilisez des housses où vous pouvez faire le vide grâce à l’aspirateur.

Rangez la caisse (ou le sac) dans un endroit sec (dessus d’armoire, haut de placard, grenier...).

Puis, vous pourrez sortir les vêtements d’hiver :

- si vous avez plusieurs enfants, sortez le sac des vêtements correspondant à la taille de l’enfant : il est nécessaire qu’il soit présent pour cette opération !!

Là encore un tri est nécessaire :

- ce qui est en bon état et qui va être porté. Séparez ce qui peut être rangé directement dans le placard de ce qui a besoin d’un coup de fer.

- ce qui est à donner car finalement cela ne vous plaît plus, ne plaît pas à votre enfant ou est trop démodé : mettez-le dans la caisse « à donner ».

Enfin, faites la même opération avec les chaussures.

La seule différence est dans le choix du système de stockage. Au lieu de sacs,  prenez des cartons –soit les boites à chaussures d’origine, soit des cartons style déménagement où vous inscrivez au marqueur, sur les 4 côtés, les tailles.

Cirez les chaussures avant de les ranger ou de les donner.

Pour les chaussures que vous jetez,  récupérez les lacets en bon état.

Et pour nous, les parents, comment désemplir notre penderie ? Pour vous aider à faire le tri, posez-vous les questions suivantes : 

• Est-ce que j’ai d’autres vêtements assortis à celui-ci ?
• Est-ce que j’aime toujours cette couleur ?
• Est-ce que j’aime le porter ? est-ce que je me sens belle/beau dedans?
• Est-ce que je vais vraiment le réparer un jour ? (boutons, fermeture, trou…)(si cela fait plus de six mois que vous n'avez rien réparé, jetez !)

N'oubliez pas de donner le sac "à donner". Pour rappel, le Centre 72 ,72 avenue Victor Hugo récupère chaque après-midi les dons (sauf pendant les vacances scolaires)

Pensez aussi à revendre ou donner vos affaires via les petites annonces de votre AFC préférée !

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Et si nous changions de petit déjeuner ?

 Le petit déjeuner est un repas  essentiel  de la journée : physiquement,     nutritionnellement, relationnellement…Pour bien démarrer, organisez des « ptit dej » à thème ! Prévoyez-le dans  votre liste de courses, et étonnez vos enfants ! Demandez leurs envies afin qu’ils puissent être partie prenante. Une bonne façon de partir à l’école autrement !

 Quelques idées : "petit dej" surprises ou à thèmes : anglais avec bacon et porridge, espagnol avec churros et tapas sucrés. Source : http://2heurespour.fr/

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Voyage virtuel...

Voici une idée originale pour voyager autour du monde tout en restant à la maison. Les vacances seront intelligentes et plairont... surtout à la maman qui ne sera plus à court d'idées pour les déjeuners et dîners. Les enfants viennent à table avec joie et appétit ! Ils gardent des souvenirs incroyables des pays qu'ils ont traversés. On peut conjuguer cette idée à tous les temps et à tous les modes : pour un repas, pour une soirée avec DVD à l'appui, ou pour toute une semaine !

Pour voir le déroulement et la préparation de ce voyage, c'est par là !

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Voyage réel...

C'est bien les vacances ! Mais en attendant de pouvoir télétransporter nos enfants, les heures de voitures peuvent être très très éprouvantes. Alors, vite des trucs, des astuces !

Pour commencer, un petit article  de Vie de Famille (le magazine de la CAF), on continue avec des parents dont la créativité peut nous inspirer, on poursuit avec le site Priorité vos enfants de la Prévention Routière.

On vous donnne quelques idées pour vous donner envie d'y aller :

Se munir de livres, coloriages, crayons cires (pas de feutres sauf si vous voulez repeindre votre voiture !), mini-ardoises magnétiques si vous ne voulez pas de crayons de couleurs dans la voiture, le doudou, quelques bonbons, quelques gâteaux, morceaux de pommes...

De la musique pour adoucir les moeurs. Si vous gravez vos CD, pensez à  alterner des chansons qui bougent (celles avec des actions à réaliser ou qui swinguent vraiment) avec des chansons plus calmes et des histoires (celles de Marlène Jobert rencontrent souvent un franc succès).

Moins éducatif, beaucoup plus coûteux mais très efficace : le lecteur de DVD.

Une fois tout cela emporté, voici des petits jeux (gratuits et conviviaux) que vous pouvez facilement entreprendre :

Les couleurs : chacun choisit une couleur de voiture et d’une ville à l’autre on compte les points.

La phrase surréaliste : tout commence par un mot puis un deuxième ainsi de suite pour former une phrase et c’est rigolo car a la fin la phrase ne veut rien dire.

les marques de voiture : chacun choisit une marque de voiture. Au bout du trajet, celui qui a le plus croisé la marque de sa voiture qui a gagné.

La musique :  Ecouter une grande compilation de chanson française … qui va des petites comptines pour les petits (ah les crocodiles …) à des chansons françaises du moment afin que tout le monde puisse participer.

On choisit un mot très commun (soleil, mer..) ou une sorte de mot (prénom, couleur…)
Le but est de trouver une chanson ou un poème contenant ce mot (ou une couleur, ou un prénom..), chacun son tour.
Lorsque la chanson est trouvée, on reprend tous en chœur la chanson (super ambiance!).
Ce jeu permet d’avoir des phases de calme (quand on réfléchit pour trouver les chansons ou poèmes)et de musique.

Le jeu de l'alphabet : on désigne une lettre et à partir de cette lettre chaque personne de la voiture doit présenter un nom d’objet, d’animaux etc….( cela dépend du thème choisie au départ) ainsi jusqu’à épuisement de l’alphabet.

A quoi tu penses ? Ce jeu est simple, L'enfant ou l'adulte pense à un animal, une personne, un lieu, un objet, etc. L’un d’entre nous va essayer de trouver à quoi pense l’autre en posant des questions. Par exemple si il recherche un animal il  me demande “vit-il dans la mer ? a-t-il des poils?”. Quand il a trouvé c’est au tour de l'autre. Le but est d’avoir besoin que de très peu de questions. Fous rires assurés…

Le mot en "ette" : trouver des mots en -ette, -eur, -ique…cela prends un certain temps, chacun joue à son tour les mots sont parfois inventé et celà s’avère être très drôle!

Autre jeu de l'alphabet : on doit choisir une lettre de l’alphabet et les passagers doivent dire le plus grand nombre de mot commencant par cette lettre en regardant le paysage celui qui a dit le plus grand nombre gagne !

La grande histoire : une histoire qu’on invente au fur et à mesure du trajet. Les enfants choississent les personnages principaux et tout le monde participe pour étoffer l’histoire. Elle peut durer un moment, on peut l’arrêter pour faire une autre activité puis la reprendre. Et pour avoir l’envie de l’écouter, on promet la fin pour l’arrivée.

Le calcul mental : faire faire à ses enfants du calcul mental(..+..-..x..=?) et le premier à avoir donné la bonne réponse et le plus rapidement possible gagne un point et le premier à arriver à 10 points est le vainqueur final. les enfants adorent ça !

Dessiner c'est gagné : les faire dessiner sur une ardoise magique un dessin et de faire deviner aux autres ce que c’est.

Un petit jeu qui permet de passer un trajet dans la bonne humeur et en chanson :Le premier joueur choisit un thème. A la suite, chacun trouve une chanson sur ce thème et la chante. Le premier qui n’en trouve plus est éliminé, et ainsi de suite …
Le gagnant choisiit un autre thème et on recommence !

Allez voir ce site, il y en a des pages et des pages, alors, si vous ne trouvez pas votre bonheur...

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Plus solidaires : Vous souhaitez rendre vos voisins plus solidaires. Ce site est pour vous. Un site à diffuser auprès de tous, et encore plus aujourd'hui en cette année de lutte contre la solitude. Ce site regorge d'idées, d'outils, d'affiches à télécharger pour nous changer la vie (et celles de nos voisins aussi !). Usons et abusons de ces outils !

http://www.voisinssolidaires.fr/
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Reprendre son souffle

La rentrée n'est pas de tout repos, surtout pour les mamans. Nous vous proposons ce petit article de Famille Chrétienne qui peut vous donner des petites idées toutes simples pour dédramatiser et reprendre son souffle, suivez le guide...

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Organiser des fêtes d' anniversaire

Comment organiser un goûter d'anniversaire à la fois simple et plein d'idées (quand on n'a pas de pétrôle, on a des idées) :

http://www.aufeminin.com/maternite/enfants/gouter/egouter0.asp : des idées de jeux et d'activités classées par âge, par type d'activité, intérieur/extérieur...

http://www.teteamodeler.com/dossier/feteenfant/index.asp : des idées, des thématiques développées, des images pour illustrer les invitations, des recettes de gâteaux appréciés par la majorité des enfants et comment transformer le gâteau au yaourt en bâteau pirate ou en château de princesse...

http://juniorcity.net/fetes/anniversaire/anniversaire-pirate.html : des idées de déco, des bricolages à télécharger

Et aussi : http://www.boite-a-fete.com/anniversaire-enfant.html (cliquez sur les images en bas pour accéder à des trames de goûter, des idées de jeux, d'histoires...Très, très pratique !)

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Avec les tout petits :

Princes et princesses. On fouille dans nos tiroirs et nos garde-robes et on remplit une boîte de vêtements, d'accessoires et de bijoux en toc qu'on ne porte plus. Un véritable coffre aux trésors pour nos princesses, pirates et grandes dames! Et on organise un bal, un déjeuner de princes et de princesses Pique-niquons! Il fait mauvais ? Qu'à cela ne tienne, on pique-nique dans la cuisine ou dans le salon! On prépare des sandwichs et des crudités, on étend une nappe sur le plancher et on fait semblant qu'on est dehors. Pour la sieste après le repas, on improvise une tente en dressant une grande couverture entre des chaises. Vingt minutes pour toi. Papa, maman ou les deux jouent pendant 20 minutes avec l'enfant au jeu de son choix. C'est ce dernier qui mène et aucune interruption n'est permise (répondre au téléphone, faire partir une lessive, etc.)

Regarder les albums photos. Allez chercher l'album photos de la naissance de vos enfants, de votre mariage, ou de votre propre naissance et racontez-leurs l'histoire de leurs naissances, la rencontre avec le papa... autant d'histoires à raconter à vos enfants autour de vos photos.

Pour les 5-9 ans :

Bougeons : Tous à l'eau! Tous à la piscine intérieure municipale la plus près. On organise des compétitions. Qui nage le plus vite? reste sous l'eau le plus longtemps? fait le mieux la planche? fait le plus grand nombre de longueurs? 

Evadons-nous : Et si on faisait semblant? On transforme le sous-sol ou une pièce de la maison en terrain de camping, en radeau perdu en mer, en piste de cirque... Ou encore, on organise une journée dans un pays chaud: on apporte dans une pièce toutes nos plantes en pot, on met de la musique latino ou créole ou un disque de relaxation avec le son des vagues, on augmente le
chauffage et on revêt notre maillot de bain. On se fait bronzer, on boit de la limonade et on mange des quartiers d'ananas et de noix de coco. On peut tout à fait jouer à partir en voyage dans un autre pays (vêtements adaptés, menus, documentaires sur le pays, musique ad hoc...etc) 

Rapprochons-nous : Journée thématique. Toute une journée en pyjama, sans télévision, pleine de bisous, inversée (les parents sont les enfants et vice-versa), à l'envers (on commence par le souper et on termine par le petit-déjeuner, on mange le dessert avant le plat principal, on prend notre bain le matin, on met nos vêtements à l'envers), etc. 

C'était le bon temps. On invite les grands-parents à venir parler de leur jeunesse. Ils apportent des photos, des souvenirs, un objet qui a une grande valeur sentimentale, etc. On veut tout savoir: la petite école de leur enfance, leurs joies et leurs difficultés quand ils sont devenus parents, les mauvais coups de leur progéniture (les enfants adorent qu'on leur parle de leurs parents quand ils étaient petits). On termine la journée en cuisinant ensemble la recette favorite de grand-maman ou de grand-papa.

Pour les plus grands :

Tout le monde danse! Les goûts de nos préados et de nos ados en matière de musique diffèrent probablement des nôtres. Pour mieux connaître nos univers respectifs, on organise une soirée de danse combinant les deux types de musique en alternant toutes les 15 minutes. On monte le son au maximum et on bouge! La règle: chacun doit danser sur la musique de l'autre. 

Voyage culinaire. Choisir un pays et préparer un repas composé de mets typiques de ce pays. Pendant la journée, chacun fait une courte recherche sur un aspect du pays (habillement, musique, géographie, histoire, faune, etc.). Puis, autour de la table, on présente aux autres ce qu'on a appris. 

Que le spectacle commence! On monte un spectacle familial. Chacun a la charge d'un numéro: mime, chant, court sketch, acrobatie, magie, récitation d'un poème, imitation, blagues, etc. Pour la première, on invite des amis ou des parents à qui on demande de s'habiller chic. 

L'interrogatoire.Préparer une série de questions auxquelles tous les membres de la famille devront répondre: aliments et films favoris, petites manies qui nous exaspèrent, mauvaises habitudes, plus grandes qualités, attentions qui nous font plaisir, personnes sur qui on peut compter, meilleurs souvenirs, plus grandes peines, etc. Profiter d'un bon repas ou d'une soirée au coin du feu pour commencer le jeu.

Le défilé des saints (surtout à l'occasion de la Toussaint) : Sainternet met à disposition les idées et les patrons de ses stylistes pour vous faire un superbe déguisement de saint.

Si vous avez d'autres idées, nous les rajouterons avec grand plaisir, alors transmettez-les nous !

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Les p'tits bonus : 

Une bonne idée pour prendre le temps de rendre grâce et voir autrement nos enfants :

Prenez un cahier que vous décorez à votre goût si vous le souhaitez et sur lequel vous écrivez : Aujourd'hui, je suis content parce que...A chacun de le remplir petit à petit. Un moyen efficace pour voir  le positif d'une journée et trouver des "pépites" . Ce cahier permet en outre de développer la confiance en soi. En insistant sur les aspects positifs, l'on est moins affecté par ce qui peut nous arriver !

Ou bien accueillir son conjoint, ses enfants, par la phrase "qu'est-ce qui t'as rendu heureux aujourd'hui ?"

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Pourquoi ne pas profiter de ce début d'année pour prendre une bonne résolution : jouer un peu plus avec nos enfants.

Voici un bel outil qui pourra vous y aider :

un jeu qui fait parler petits et grands"...pour passer de bons moments de partage et de communication en famille, découvrez Brin de jasette (version famille). "Ce jeu garantit des conversations magiques et pleines d'humour, des moments touchants et surprenants entre petits et grands grâce à 344 questions originales qui font du bien au coeur et à l'âme" (c'est écrit sur la boîte!!!). "En partageant entre petits et grands, rêves, souvenirs, grandes joies et autres passionnantes histoires qui permettront à chaque enfant de se sentir tout à fait unique".
A jouer sans modération parents, enfants, grands-parents, petits enfants...
à noter, l'éditorial est très beau à lire!
Chaque partie est un beau cadeau à vivre ensemble...
NB: le site brin de jasette n'est pas du tout représentatif du jeu version "famille"...Ce jeu est vraiment un trésor...

Âges concernés : 7 ans à 99 ans